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Fable Varrik

Fable Varrik
Fable Varrik
Rang III - Ori'ramikad
Messages : 20
Date d'inscription : 31/03/2018
Sam 31 Mar - 19:49
Fable Varrik

Présentation générale




Nom : Varrik
Prénom(s) :  Fable
Surnom(s) :  L'éclairée
Age : 35 ans
Race :  Kiffar
Monde d'origine : Mandalore

Côté de la Force : Neutre
Faction : Mandalorien
Rang désiré : Rang III, Ori'ramikad, Instructrice
Fable Varrik 87ck


Caractéristiques & Pouvoirs



VIG 35

HAB 40

INT 45

VOL 40

PRE 35


Points forts et faibles


Tacticienne : J'aime la violence, comme la plupart des miens à vrai dire, j'aime le son des combats, l'adrénaline qui parcourt les veines. Mais jamais je ne connaîtrais le plaisir ultime de me retrouver face à face avec l'ennemi, le regarder dans le blanc des yeux tandis que les tirs de blasters sifflent autour de moi. Moi ? Je suis là bas, comme d'habitude, debout et au fond. Je regarde, je calcule, j'analyse. La guerre, les tactiques, les armes, tout ça je connais. Je sais comment renverser un champ de bataille en notre faveur, user de la moindre faille à exploiter pour perdre un minimum des miens. Tout cela je connais, mais jamais je ne pourrais y être.

Érudite : J'aime écouter, j'aime conter, j'aime être auprès des petits qui me regardent avec de grands yeux en écoutant les grandes histoires de nos héros et des batailles. La plupart de nos ennemis ne voient en nous qu'un peuple barbare assoiffé de sang et de gloire, ce n'est peut être pas faux, mais il y a tellement plus à comprendre. Être Mandaloriens ce n'est pas seulement faire la guerre, c'est la vivre la ressentir pleinement, glorifier ceux partis trop tôt, ne jamais oublier nos grands héros et l'histoire de notre peuple. Sans histoire, pas de racines, et sans racines nous ne sommes plus que ces êtres dégoûtants que nos détracteurs voient.  

Traditionaliste : La guerre fait partie intégrante de moi. Mais je n'oublie pas l'histoire. Et je n'oublie jamais de révérer  Kad Ha'rangir au début de chaque bataille ou bien quand j'ai une décision importante à prendre. Il est un guide pour notre peuple que nous devons écouter et craindre à la fois. Les traditions revêtent pour moi un aspect essentiel de la vie de mon peuple, c'est ce qui fait notre force et notre union. Négliger ses ancêtres, se battre pour soi et non pour les autres...si on vous retire ce qui fait de vous un vrai guerrier alors le mieux n'est il donc pas de se laisser mourir loin de ceux à qui vous faites honte ?

Maternelle : Ah mes enfants, si seulement je pouvais vous voir devenir grands et vaincre nos adversaires. Notre peuple ne promulgue pas la douceur et la tendresse, mais il n'y a rien de mal à vouloir protéger ceux que l'on aime non ? Quand je vois mes enfants devenirs de fiers soldats je suis heureuse d'avoir put les conduire sur la voie de la guerre.

Faible physiquement : Ma plus grande honte à vrai dire. Pour un Mandalorien se battre est quelque chose de primordiale. Alors je suis tout de même capable de tirer au blaster, ou bien de lui flanquer un bon coup de bâton électrique dans le bide. Mais le combat tourne assez vite en ma défaveur s'il doit durer sur le long terme.

Intransigeante : Ma faiblesse fait de moi quelqu'un de dure. Je ne tolère pas la moindre erreurs, et mes poulains vous le dirons je pense, je suis une instructrice assez..tyrannique quand je veux. Et je veux souvent. Aucun égard, aucun pardon. L'excellence de nos futurs soldats est une priorité à laquelle je m'attache. Si je peux aider sur le champ de bataille par mes propres capacités physiques je veille à ce que d'autres soient mon bras.

Maladie chronique : Je souffre depuis l'enfance d'une insuffisance cardiaque. Va savoir comment le destin a décidé de me jouer ce méchant tour. Il en résulte d'assez vives douleurs qui apparaissent brutalement souvent lorsque je fais des efforts trop intenses. Un combat trop long par exemple. Ma douleur m'oblige alors à m'arrêter quelques instants. Ce n'est jamais très long, mais lorsque ma vie est en jeu chaque micro secondes peut m'être fatale. Vous comprenez alors pourquoi il m'est difficile de me trouver en plein champ de bataille.

Anti technologie : Bon soyons clair. Je sais que mon blaster, mon bâton...mon armure....bref tout ce que je touche est imprégné de cette technologie que je semble haïr. Mais il y a une nuance. Je ne déteste pas la technologie en elle même, seulement ceux qui sont trop faibles d'esprit pour l'utiliser à leurs propres avantages. Les améliorations physiques, les cuves de kolto, les greffes, les membres robotiques pour le seul plaisir de se rendre plus forts....Un vrai guerrier ne doit compter que sur ses propres compétences pour survivre.

Votre équipement


- Bâton électrifié
- Fusil Outland
- Hache mythosaure.

Caractère


La journée venait à peine de commencer et déjà les gens allaient et venaient s'activant à leurs emplois du temps respectifs sans qu'aucune plainte ne s'élèvent. Thédas marchait d'un pas rapide, il savait parfaitement quoi faire. Longeant les rues il passa sans s'arrêter devant plusieurs stands et salua rapidement les uns et les autres. Sous ses allures de vieillard, le vétéran avait encore la démarche souple et rapide des soldats qui connaissent leurs buts sur les champs de bataille. S'approchant il ne prit même pas la peine de frapper à la porte et entra directement pour faire face à son ancienne élève. Fable était bel et bien là, le dos tourné en train d'enfiler son armure a la va vite, elle avait encore dut veiller une grande partie de la nuit pour s'écrouler de fatigue. Elle ne se formalisa pas de cette entrée peu cavalière, elle n'était pas femme à se laisser déroutée pour un peu de nudité, surtout pas envers un homme qui l'avait élevée au même titre que ses parents. Sans un mot il lui tendit son casque.

«Me'vaar ti gar? »

«Naas»

«Tu as le temps, les p'tits font pas te faire la gueule pour quelques minutes à attendre dehors.»

« Jehaat, si je suis en retard ils vont encore râler que je les martyrise, de votre temps nous étions plus respectueux des ancêtres.»    

Il avait oublié à quel point ses remarques pouvaient être incisives. Si ses sourires et ses airs avenants la faisait souvent passer pour une personne joviale, ses regards n'en demeuraient pas moins scrutateurs et à l'affût. Ne ratant rien, ne tolérant aucun écarts de conduite ou de faiblesse, ils passaient tour à tour de chauds et rieurs à froids comme le métal d'un blaster. Elle lui adressa un sourire moqueur avant de passer devant lui, se faufilant dans les ruelles. Il lui emboîta le pas. La conversation entre eux n'était pas nécessaire, Thédas n'était pas spécialement bavard et Fable avait d'autres idées en tête. Son érudition écrasante, en arme et techniques militaires, s'ancrait dans un esprit tumultueux, mais patient. Chacune de ses décisions, chacun de ses gestes, étaient dictés par des intentions précises dans lesquelles s'ancraient la survie, la loyauté et la solidarité envers mon peuple. Tout ce qu'elle faisait, elle le faisait par devoir et par conviction.

Suivant le mouvement ils longèrent les ruelles pour sortir un peu plus loin vers les grands espaces où se distinguaient les silhouettes encore juvéniles des recrues. Fut un temps où ces mêmes silhouettes étaient celles de Fable et de ses camarades, si on pouvait les appeler comme ça. Thédas se souvenait de cette fameuse époque où il la retrouvait souvent en train de cracher ses poumons et il ne comptait plus le nombre de fois où ces mêmes petits camarades l'avaient si gentiment roué de coup en se moquant d'elle. Sa volonté de surpasser les autres par la seule puissance de son cerveau venait à coup sûr de cette période difficile. C'était plus qu'une volonté c'était la rage violente et inflexible de ne tolérer aucune erreur, aussi bien pour soi même que pour les autres. Sa propre faiblesse l'avait rendu froide et insensible aux errances d'autrui. Il avait entendu dire qu'elle se prenait très souvent la tête avec ses supérieurs sur son manque de souplesse. En la voyant haranguer ses  Verds ont ne pouvait pas se douter qu'elle aurait put se faire rétamer par chacun d'entre eux.

Elle était une professeur exigeante certes, mais patiente et appliquée, qui mettait un point d'honneur à transmettre non seulement les meilleures techniques de combat mais aussi un vrai respect de la culture mandalorienne. Thédas avait longtemps insisté pour la placer en tant que représentante du peuple mandalorien auprès des alliés et des futurs membres recrutables avant de la diriger vers l'histoire, la transformant en véritable encyclopédie. Elle parlait aussi bien le mando'a classique que la version plus archaïque, obligeant ainsi ses détracteurs, la plupart d'anciens soldats Taungs, qui voyaient d'un mauvais œil cette jeunette leur faire la leçon dans leur langue d'origine, à l'écouter si ce n'est au moins avec respect, avec attention. Cela l'amusait et le rendait fier de sa petite protégée. Pour le peuple mandalorien la force était au centre de toute la société, ceux qui se trouvaient trop faible ne faisait pas long feu, aiguiser ses talents propres était la clef de la survie. Et Fable avait trouvé les siens. Elle suivait les voies anciennes qu'avaient parcouru avant elle les grands héros dont elle aimait tant raconter les histoires aux enfants. A sa manière elle était une vraie mandalorienne, loin des batailles et des cris des ennemis dans ses oreilles elle retournait avec aisance les situations, s'insinuait dans les esprits. Sa force résidait dans les mots et sa réflexion souple et rapide qui l'avaient aidé à se hisser jusqu'à ce qu'elle était aujourd'hui.

Elle lui fit signe de la main avant d'accélérer le pas pour rejoindre ses recrues qu'elle appelait affectueusement ses « petits ». La voyant s'éloigner de la sorte Thédas eut un sourire en coin avant de se diriger lui aussi sur un côté un peu à l'écart. Il aimait voir la progression de ses poulains. Machinalement il se retrouvait en eux. Il la vit porter sa main au niveau de sa poitrine, baissant légèrement la tête un brève fraction de seconde..Il l'avait déjà vu faire ce geste un millier de fois auparavant. Elle priait Kad Ha'rangir au début de chacune de ses missions, actes, décisions. Peut être croyait elle que ce dieu muet lui apportait le soutien dont elle avait besoin. Aujourd'hui cette croyance avait pratiquement disparue au profit de la vénération de l'acte guerrier en soi. Mais pour cette gamine qui baignait dans les histoires, les contes et le silence il était un moyen comme un autre de se rapprocher de ceux qui combattaient l'ennemi l'arme au poing. Si ses petits tuaient c'était un peu comme si elle tuait au travers d'eux. Une vision bien triste de sa vie. Mais il ne voulait pas la détromper. Le vieux mandalorien avait connu assez de batailles, et sans doute en connaîtrait il encore jusqu'à sa mort, pour connaître le plaisir de tuer. C'était la seule chose qu'il ne pouvait lui transmettre.

Il s'accouda un peu plus loin. Laissant son regard dériver sur l'entraînement des futurs soldats qui piaillaient pour le moment autour de Fable comme des petits mythosaures autour de leur mère.
Description physique/Apparence


L'entraînement été déjà pas mal entamé. De loin Thédas voyait les jeunes Verds s'épuisaient lentement, il ne pouvait qu'imaginer la sueur qui devait perler sur leurs fronts et leurs membres commençaient à se raidir sous le poids des armures et des coups répétés des armes d'entraînement. Certaines choses ne changent pas malgré le temps qui passe. Fable elle aussi regardait le déroulement des opérations. Son capuchon rouge plaqué sur son casque pour protéger ses yeux des rayons mordants de ce fichu soleil. De loin sa silhouette se distinguait clairement, son armure, loin d'être aussi imposante que la sienne ou celle de ses collègues accentuait au contraire la finesse de son anatomie, en la voyant clairement on comprenait qu'elle n'était pas taillée pour le combat pur et dur. C'était presque drôle de voir que même à côté de ses élèves elle pouvait paraître fragile. Mais elle n'était pas sans ressource, Thédas l'avait vu plus d'une fois mettre à terre ses adversaires d'un habile retournement de situation. Ses attaques étaient rares mais précises et vives. Il avait passé un temps monstrueux à tenter de muscler ce petit corps frêle qui, enfant, ne pouvait pas supporter l'effort physique sur le long terme sans faire cracher ses poumons à sa propriétaire. Encore une fois ce n'était que par sa volonté qu'elle avait réussie, si ce n'est à égaler les autres, à ne pas se laisser mourir sous les coups. Elle avait tenu bon. Elle avait du cran cette gamine. Et une énergie à revendre, aussi ironique que cela pouvait être dans ses conditions.

Il suffisait de la voir se déplacer parmi les rangs des Verds, corrigeant leurs positions, prodiguant des conseils. Ses mouvements étaient ceux d'un fauve à l'affût, ses muscles tendus prêt à bondir aisément d'un sens à l'autre. Son corps tout entier réprimait sa puissance, et il n'y avait rien de plus frustrant au monde que de ne jamais savoir quand son adversaire allait laisser jaillir cette force endormie. Même pour de courte durée. Il l'avait déjà vu à l’œuvre, sous la colère, la rage et la peine, elle pouvait se battre comme une vrai furie...avant de tomber au sol en crachant littéralement ses poumons tout en luttant pour reprendre son souffle à grands coups de halètements, ou de râles dans les cas les plus graves. Dans ces cas là elle pouvait prétendre devenir une vraie mandalorienne de guerre. Et peut être qu'elle en était une à sa manière.

Il la vit réunir ses troupes. Sa voix rauque et chaude s'éleva dans les airs. Elle avait la voix des conteurs, qui, autour du feu le soir, racontait les histoires des grands héros, des guerres et des exploits des Mandalores précédents. Il ne l'avait jamais entendu hurler, sûrement un mécanisme de défense. Sa voix s'écoulait sur vous comme une brise, s'agrippant ça et là pour vous faire découvrir des sensations oubliées lors de la prise d'une planète ou dans l'exaltation des combats. C'était par ce talent qu'elle pouvait enflammer l'esprit de ces petits, c'était avec cette voix qu'elle captait leur attention et exaltait leur désir de victoire.

Machinalement elle dodelina de la tête. Son esprit était encore parti trop loin. Depuis le temps qu'il la connaissait il avait appris à repérer certains de ses tics. D'abord il y avait sa façon de bouger la tête quand elle se mettait à réfléchir, des petits mouvements nerveux. Il y avait aussi cette drôle de manie de faire craquer ses articulations, en particulier celles de son cou, quand elle se mettait à être nerveuse. Et enfin une dernière qu'il ne pouvait pas supporter...Quand elle se sentait perdue, en proie à ses fréquentes crises elle s'arrachait régulièrement des morceaux de peau sur sa lèvre inférieure. Petite elle c'était tellement acharnée dessus lors d'une crise particulièrement aiguë, après un incident avec un autre gamin, qu'il avait bien cru qu'elle allait s'arracher la lèvre en entier. Elle avait d'ailleurs gardé une petite cicatrice à cet endroit précis. Il la vit congédier les Verds avant de se diriger vers lui.

Elle retira son casque, dévoilant une épaisse chevelure sombre dont elle dégagea quelques mèches collées à son front par la sueur. Ils tombaient sur ses épaules sans aucuns soins ni recherche d'élégance. La seule fois où il avait surpris sa mère en train de tenter de lui couper sa masse capillaire il avait bien cru que la gamine allait s'empaler sur les ciseaux à force de vouloir échapper aux lames. Depuis cet incident Fable avait obtenu la permission de se laisser pousser les cheveux comme bon lui semblait. S'il lui arrivait de faire place nette de temps à autre, son casque était un vrai piège. Emmêlant plus que de raison ses cheveux dont elle bataillait à défaire les nœuds uns à uns, passant ses longs doigts entre chaque mèche pour tenter de les libérer le moins douloureusement possible. Et puis, quand cela commençait à prendre trop de temps, elle arrachait simplement le nœud en question. Ses cheveux étaient assez nombreux et épais pour que ce genre de chose passe relativement inaperçu.

Elle planta ses grands yeux d'amandes verts dans les siens. Il ne savait dire si elle était devenu une jolie femme ou non...déjà ce genre de question ne lui était jamais venu à l'esprit, et puis on ne choisissait pas les femmes pour leurs beautés, mais pour leurs forces, leurs prouesses de combats. Vu comme c'était parti Fable ne risquait d'avoir beaucoup de prétendants devant sa porte. Trop discrète.

Une goutte de sueur longea lentement la courbe de son front, glissant le long de sa marque jaune qui contrastait avec la teinte de sa peau, oscillant entre le sable et le miel. Cette marque lui avait elle dit un jour était une tradition des Kiffar, un moyen comme un autre de marquer son appartenance à un clan. Il n'avait jamais cherché à en savoir plus. Elle appartenait à Mandalore par la naissance, que lui importait ces traditions d'un autre peuple. Cette ligne courrait sur son front, suivait son arrête nasale pour venir se loger au dessus de sa lèvre inférieure avant de se scinder en un triangle parfait au niveau de son menton.

« Assis toi gamine... »

Elle obéit sans rien dire. Parfois il fallait aussi profiter un peu des temps simples qu'offrait la vie.


Historique


Thédas sortit de je ne sais où une sorte de flasque en peau usée qui avait dut en voir des vertes et des pas mûres. Retirant le bouchon il s'enfila une longue rasade avant de la tendre à Fable. L'odeur caractéristique du Tihaar lui fit retrousser le nez, elle trempa à peine ses lèvres sous l’œil attentif de Thédas et de son sourire amusé, enfin difficile à dire avec la longue balafre qui lui parcourait la moitié la figure. La chaleur du breuvage lui fit s'enflammer les lèvres.

« Tu te souviens gamine quand tu t'es pointé ici pour la première fois ? »

Non. Elle n'était pas encore née quand son père et sa mère fuirent leur planète à bords du premier vaisseau cargo en route pour une planète qui leur offrirait la sécurité voulue ainsi qu'une toute nouvelle vie, Mandalore. Quand elle était petite elle avait souvent entendu sa mère et son père se disputaient sur ce sujet. Elle lui reprochait de les avoir trahis, contrainte de vivre sur une planète qui n'était pas la sienne, loin des siens pour une stupide erreur de jugement. Enfin on ne traite pas avec les Hutt et surtout on essaye pas de les doubler pour une sombre histoire d'ego mal placé. Ce à quoi son père lui rétorquait que cette fameuse décision de se joindre au mandalorien était sûrement la plus sage et qu'il avait sauvé sa famille...A dire vrai tout cela lui était complètement étranger à l'époque, ce n'est que bien plus tard qu'elle comprit les véritables conséquences que peuvent avoir de vieilles erreurs. Elle était née quelques mois à peine après l'arrivée de ses parents sur la planète et leur acceptation au sein d'un clan. Sa mère lui avait un jour raconté cette pénible traversée avec son gros ventre, les coups de pieds et de poings que la petite Fable lui donnait à chaque fois que le vaisseau tressautait. Elle était née sur Mandalore, elle était mandalorienne...même si ses parents, et plus particulièrement sa mère, avaient insisté pour lui donner ses marques de naissance, une tradition comme une autre qu'elle tentait de faire perdurer pour se sentir un peu moins loin de ces racines.

« Moi je me souviens...t'étais haute comme un cochon globe, t'avais la mine renfrognée de quelqu'un qu'on a éjecté du lit, et tu pensais que t’allait éclater tous les autres. »

Ah oui. Elle eut un sourire en coin. Avant même de savoir marcher elle tenait déjà à être au dessus des autres, elle ne supportait pas  de ne pas avoir le dernier mot. Et c'était des crises de colère entre son père et elle quand elle sut marcher, parler, et réfléchir un minimum. Il n'avait jamais levé la main sur elle, mais elle c'était de très nombreuses fois pris un coup de pied au cul pour son insolence. Sa mère faisait le tampon entre les deux, calmant l'un pour en réprimander un autre, soufflant le froid et incitant au calme. Ce souvenir la fit rire un bref instant.

« J'étais un peu naïve à l'époque, je voyais les autres avec leurs armes partirent en guerre le sourire aux lèvres et revenir victorieux, je voulais être comme eux. »

« Ouais, j'me souviens, sauf que... »

Sauf que voilà ce putain de destin avait décidé de jouer les farceurs. Les premiers jours d'entraînement on l'avait collé dans les pattes de Thédas Varrik, un ancien soldat Taung de la vieille époque. Dès le début il les avait motivés à donner le meilleur d'eux même. Toute la journée ou presque ce n'était qu'une longue succession d'exercice plus ou moins complexes, de longues sessions où, assis, ils devaient écouter leur instructeur leur débiter des noms, des stratégies, des explications sur comment tuer quoi...La plupart des jeunes se contentaient d'écouter d'une oreille distraite. Fable n'était pas en reste elle ne voulait que combattre sans se soucier du reste. Et puis le vrai entraînement commença. Et c'est que tout parti en sucette. La première fois Fable ne dit rien. La seconde fois elle se mit à tousser. Quand son camarade de combat la propulsa au sol dans un bruit sourd ses poumons se déchirèrent sous la pression, son coeur se mit à faire des bonds dans sa poitrine. Couchée au sol, repliée sur elle même elle crachait littéralement ses poumons, tenta de reprendre son souffle sans pouvoir y parvenir tandis que les autres Verds se regroupaient autour d'elle l'air inquiet et curieux. Thédas fut le premier à arriver près d'elle. D'un geste brusque il la souleva, mais ses jambes se dérobèrent sous elle, elle retomba dans ses bras, le corps secoué par des spasmes violents. On la conduisit un peu plus loin. Avec le calme son coeur cessa de la faire souffrir. Des larmes et de la bave coulaient le long de ses yeux et de sa bouche.

« Tu es resté comme ça pendant une heure, j'ai cru qu'il t'avait cassé un truc. »

« J'ai cru que j'allais crever ouais. Au final peut être que j'aurais dû, ça m'aurais éviter des problèmes. »

Faible. Un mot indigne. Une insulte presque. A partir de ce moment là son enfer commençait. Sa mère veillait sur elle avec un soin maladif, son père semblait faire comme si tout allait bien. Mais aucun des deux ne voyaient ce qui se passait. Les brimades, les moqueries, les coups encore et encore pour voir a quels moments elle allait craquer. Son coeur lui brûlait la poitrine, ses poumons se vidaient et elle restait là pendant de longues minutes pour calmer ses élans. Rejetée, inutile.

«C'est fou comme les gamins peuvent être de vrais saloperies entre eux par moment. »

Quand la vie te donne des citrons, c'est à toi d'en faire des tartes.Et quand la vie vous donne l'occasion de changer de camp est il si incompréhensible de vouloir prendre un nouveau tournant ? Même quand cela impliquait de prendre les mauvais choix ? Être une cible sans cesse vous change, vous êtes sur la défensive, le moindre bruit vous font tourner la tête, vous avez les sens en alerte. Et quand une cible plus faible se présente vous vous joignez à la meute. Il y eut un cas comme ça, un gamin plus âgé, Horus. Il s'était pointé un jour sans qu'on leur dise le pourquoi du comment. Et puis c'était pas leurs affaires de savoir. Fable ne sut vraiment comment les choses avaient dérapé entre eux. Elle s'était mêlée à ceux qui riaient de lui dans son dos, le traitait d'idiot parce qu'il ne comprenait pas, riant de ses erreurs, crachant sur ses talents que certains disaient non mérités quand les instructeurs le mettaient en avant. Et c'était des insultes des deux côtés, des regards haineux, des silences gênants...

« Ni'duraa! »

Elle ne sut jamais lequel des deux c'était jetés sur l'autre en premier. Elle se retrouva très vite plaquée au sol, écrasée sous le poids de ce monstre qui lui assenait des coups à la tête avec une violence inouïe. Elle lui mordit la main jusqu'au sang pour se libérer de son emprise, il manqua de lui broyer les hanches avec ses jambes. Alertés par le bruit des gamins surexcités par la bagarre elle ne vit même pas les instructeurs arrivaient pour les séparer. Cette bagarre scella leur animosité durant le peu de temps où Horus se trouva parmi eux.       

« Une vrai tête brûlée. »

« A cette époque j'aurais dut me faire appelé L'effrontée ou même l'acharnée... »

« Héhé. Tu t'en es mieux sorti que ce que je pensais au départ. »

« Il a fallut que tu me botte sérieusement le cul pour ça. »

« Ouais c'est sûr, mais regarde un peu où tu en es maintenant. »

Elle avait vite compris que la voie de la force n'était pas possible pour elle. Si elle devait s'élever au dessus des autres pour survivre alors il lui fallait trouver sa propre voie. Et si cela ne pouvait être dans les coups alors elle serait celle qui décide où les coups doivent être portés. Le clan Varrik avait cette incroyable faculté d'enseigner aux autres. Inutile de dire que sa mère se réjouit de ce changement drastique. Elle qui avait toujours peur de tout. Son père quant à lui fut tué quelques années plus tard, lors d'un raid contre une colonie de la République. Fable ne pleura pas la mort de son géniteur. Depuis longtemps elle avait compris que la mort n'était chez les mandaloriens qu'un simple passage. Les récits qu'elle apprenait lui enseignait le vrai sens du sacrifice pour le bien commun du peuple. Devait on pleurer ceux qui offraient leurs vies à Mandalore ? Les larmes de sa mère la touchait mais elle ne parvenait pas à comprendre cette tristesse. Quand elle lui demanda pourquoi tant de peine, elle n'eut droit qu'à un regard triste et un haussement d'épaule. Entre les deux femmes il y avait désormais un gouffre d'incompréhension.

« Heureusement que tu avais un sacré cerveau. »

« Yep...un sacré cerveau... »

« T'emballe pas gamine, t'a encore des tas de trucs à apprendre. »

« Vous êtes trop vieux pour m'apprendre des choses l'ancêtre. »

Son esprit aiguisé devint son arme au fur et à mesure que Thédas le façonnait à son image. Elle passait ses journées loin des séances d'entraînements trop rudes, à compiler des histoires, retenir des noms, des dates, des faits, des batailles, des armes. Et tout ça elle le gardait bien au chaud avant de l'appliquer judicieusement lors d'exercices qui se révélaient tous plus difficile les uns que les autres. Les remarques ne l'atteignaient plus, elle grandissait et gagnait en maturité. Son adolescence fut une période de calme et de réflexion qui la conduisit à une véritable introspection sur l'origine même de ses croyances. La guerre n'était pas un simple moyen de s'étendre. Elle devait être un mode de vie, une véritable religion. C'est à cette époque qu'elle se mit à prier Kad Ha'rangir et à arborer le casque plus ancien des Taung. Si elle voulait vraiment comprendre cette culture elle devait revenir à ses origines. Qu'ils frappent donc ces idiots obnubilés par le sang et la guerre. Elle serait celle qui choisirait la cible. Qu'ils la frappent donc ces aveugles, elle attendrait son heure pour mieux faire tomber le couperet. Qu'ils oublient leurs racines et leur langue. Elle serait la voix qu'ils devraient apprendre à écouter. Et quand ces pauvres idiots seraient brisés en deux sur le champ de bataille, à la merci de l'ennemi elle rirait de leur négligence et de leur manque de grandeur. Kote lo'shebs'ul narit. Tu peux garder ta gloire, éphémère et insignifiante tandis qu'elle s'élèverait dans les mémoires. Lors de son entraînement elle eut l'occasion de mettre en pratique certaines des plus anciens plans de bataille sur des attaques éclaires dans les systèmes de la bordure extérieure.

« La première fois que je me suis retrouvée face à ces vieux briscards j'ai failli me pisser dessus »

« Ha ha ha ça aurait été une scène mémorable. Ils te regardaient même pas... »

« Vous auriez regardé une gamine vous ? »

« Les vieux comme moi se moque de l'âge, mais certains sont plus cons que d'autres... »

Il lui avait fallu des années d'apprentissage, de travail sur soi et d'humilité pour ce faire une place à la seule force de son cerveau. Elle avait également participé à quelques missions de terrain, rien de bien méchant, elle n'était toujours pas parvenu à se faire une place par la force mais Thédas avait musclé son corps au millimètre près. Elle ne serait jamais une guerrière, mais elle avait néanmoins appris à donner des coups rapides et létales sans que sa poitrine ne suffoque et ne la laissent presque à l'agonie. C'est à cette même période qu'elle se retrouva de nouveau sur le chemin d'Horus. Des années de silence n'avaient semble t'il pas réussi à faire oublier les anciennes brimades et les rancoeurs d'un côté comme de l'autre. Cela étant dit ce fut également à cette même période qu'elle commença à comprendre l'importance des muscles et d'avoir quelqu'un qui savait s'en servir de la bonne façon. Silencieuse, analyste, elle apprenait à son contact les subtilités de la violence brute au service d'un plan bien établi. Mais hors de question de reconnaître les talents de son ennemi d'enfance. Sous ses ordres elle remplit plusieurs missions qui lui donnèrent le talent nécessaire de se faire écouter par le reste des têtes pensantes. Entre deux aventures elle repartait étudier avec les membres les plus influents du clan Varrik. À leurs côtés elle apprit l'importance de l'histoire et du respect des anciens, la subtilité de la langue mando'a sous sa forme la plus archaïque. Elle s'amusait lors des discussions à passer de l'une à l'autre pour dérouter ses interlocuteurs, souriant quand ils la remettaient gentiment à sa place. L'éclairée. Oui cela lui allait comme un gant maintenant. Ses grandes connaissances étaient aussi diverses que précises et ses deux hémisphères carburaient à pleine puissance quand ils se voyaient confronter à un problème. Certains plus moqueurs diraient sans doute que ce surnom était surtout pour marquer le fait qu'elle n'avait pas la lumière à tous les étages.. Mais on en peut renier les faits. Ses victoires stratégiques et militaires lui firent gagner à 26 ans le grade de Mando'ad. On commençait enfin à l'écouter sérieusement. Elle fut également envoyée sur la planète Ordo à la recherche d'anciennes reliques du peuple Taung. Convoyée avec un certain nombre du clan Varrik et du clan Ordo auprès duquel son clan avait de bonnes relations, elle passa une presque deux ans sur cette planète à chercher, gratter, explorer le moindre indice sur la localisation d'anciens artefacts dans les sables d'Ordo, et autres conneries qui auraient pu être oubliés. Ils ne lui avaient pas fourni d'inventaire très précis.

« Tu y pense encore parfois ? »

« Des fois, mais ça ne sert à rien de revenir sur le passé... »

« T'as raison gamine »

Parcourir la galaxie, dans une moindre mesure, traquer les moindres informations sur l'ennemi, le connaître et l'étudier. La jeune Mando'ad n'avait pas un instant à elle. Lorsqu'elle prenait le temps de rentrer chez elle sa mère l'attendait, comme elle le faisait du temps de son mari. Malgré les années et la tristesse, qui avaient ternis ses cheveux et remplis ses yeux de larmes, elle tenait encore debout et veiller à ce que sa fille ne manque de rien, même si de temps en temps la nostalgie de son pays la rattrapait. Alors elle faisait venir Fable auprès d'elle et lui racontait la vie sur Kiffex. Comment elle et son père c'étaient rencontrés, comment petite elle jouait dans les champs. Elle lui apprit la langue commune et l'histoire de ses propres ancêtres. Une culture c'est bien, deux c'est encore mieux. Lentement elles renouaient des liens qui s'étaient étiolés dans le temps. Et lentement elle s'éteignit. Dans le silence. Il n'y eut pas grand monde pour la pleurer. Sans cette dernière attache émotionnelle Fable se lança à corps perdu dans de plus en plus de missions dangereuses, prenant le risque de se rendre sur le front. C'est là qu'elle commit sa plus grande erreur.

En pleine bataille, sous les tirs ennemis, elle quitta le commandement pour se diriger vers le front. Que voulait elle prouver ? Se sentir vivante ? Évacuer sa peine ? L'adrénaline qui parcourut ses veines la rendait hystérique. Courant, sautant, évitant les tirs, plongeant. Elle se retrouva au centre de la bataille, face à l'ennemi interdit. Et c'est là que le noir se fit. Il l'a prit par surprise, lui sautant dessus. Lui aussi n'avait semble t'il plus rien à perdre. Les deux se retrouvèrent au sol, roulant l'un sur l'autre, emporté par le poids des armures et des armes. Rendant coups pour coups Fable parvint à se saisir de sa hache pour la lui planter dans le crâne, fendant son casque. Il s'écroula au sol. Elle aussi. On lui raconta plus tard que Thédas avait surgit de nulle part derrière elle pour la caler sur son épaule avant de la ramener. Inutile de dire que cette action lui fallut de sérieuses réprimandes. Pour commencer à peine réveillée son mentor lui asséna un furieux coup dans l plexus qui la brisa en deux, crachant poumon et autres aliments ingurgités plus tôt. On la reconduisit sur Mandalore où elle passa les trois mois qui suivirent enfermée dans une salle obscure. De temps en temps Thédas, où un autre membre du clan Varrik, venait devant sa cellule et lui rabâchait pendant ce qui lui paraissait une éternité les grandes lignes du Resol'nare, quand ce n'était pas d'autres demandes. Une fois sorti de sa cellule elle reprit ses actions et ses missions sans mot dire. On lui avait assez inscrit dans le crâne où était sa place. Gagnant davantage de prestige pour pallier son erreur.

« On en a vécut du chemin pas vrai ? »

« Toi plus que moi l'ancêtre, je n'ai que 35 ans tout juste.»

La fin de Mandalore le Réformateur fut suivi de violents changements. Pour commencer la guerre intestines entre les clans pour élire le prochain Mandalore. Le clan Varrik ne participa pas à cette lutte. Thédas aurait bien aimé aller casser quelques gueules, comme il le disait si bien lui même, mais la force de la jeunesse fut la grande gagnante. Le nouveau Mandalore, Le Belliqueux, fut une vraie surprise. C'était la première fois qu'un humain accédait à ce titre. Autant dire que pour les plus traditionalistes cette victoire était un coup dur. Fable n'avait en soi aucun reproche. Si les traditions étaient respectées sa victoire était naturelle et le clan devrait suivre la voie que lui dicterais son nouveau chef. Lors de l'hommage rendu au vainqueur son clan la présenta en tant que figure montante. Le nouveau Mandalore la gratifia alors du rang d' Ori'Ramikade en plus de la formation de futurs soldats.

« Allez viens, Éclairée, allons nous prendre quelques Buy'ce gal, la chaleur ça me rend bougon, j'préfère m'arroser le gosier à l'ombre. »

« Gal, ori'skraan, riduur, yaim' dab'ika l'ancêtre, la vie la vrai.»

Elle l'aida à se lever. Ensemble ils rejoignirent la ville proche, saluant au passage les quelques élèves qui levaient leurs verres à leur approche.
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Alyvan Chaldren
Alyvan Chaldren
Rang IV - Sénateur
Messages : 1007
Date d'inscription : 17/03/2018
Sam 31 Mar - 23:00
Alyvan Chaldren
Bienvenue cheers

Bon courage avec cette dame qui n'a pas l'air commode ( :p ) et n'hésite pas si tu as des questions I love you
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Fable Varrik
Fable Varrik
Rang III - Ori'ramikad
Messages : 20
Date d'inscription : 31/03/2018
Lun 2 Avr - 1:47
Fable Varrik
Ha ha merci ça avance petit à petit je tâcherais de finir d'ici demain ^^
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Alyvan Chaldren
Alyvan Chaldren
Rang IV - Sénateur
Messages : 1007
Date d'inscription : 17/03/2018
Lun 2 Avr - 21:06
Alyvan Chaldren
Me voilà Smile

Alors, laisse-moi te féliciter pour l'originalité de ta fiche ! Une mandalorienne qui ne peut pas vraiment combattre - ou du moins, qui aura toujours du mal à être reconnue pour ses prouesses sur le champ de bataille - et se concentre donc sur l'instruction, l'histoire ... J'en ai vu peu passer dans ma carrière de RPGiste. Et du coup, j'aime beaucoup ta petite Fable !

Avant de te valider, je vais néanmoins te demander de te relire, il reste en effet un certain nombre de coquilles qui peuvent gêner la lecture. Un logiciel comme Bonpatron par exemple pourra peut-être t'aider Smile

Dès que ce sera fait, je te validerai avec grand plaisir ! Smile

PS : Par curiosité, tu connaissais Horus avant de venir? ^^
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Lianna Tsi'a Cyan
Lianna Tsi'a Cyan
Rang IV - Maitre Jedi
Messages : 1236
Date d'inscription : 22/03/2018
Lun 2 Avr - 21:30
Lianna Tsi'a Cyan
Bienvenue parmi nous Smile

J'aime beaucoup ta fiche Smile

Elle est belle Smile
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Fable Varrik
Fable Varrik
Rang III - Ori'ramikad
Messages : 20
Date d'inscription : 31/03/2018
Lun 2 Avr - 22:48
Fable Varrik
Merci beaucoup à vous deux ^^

J'ai passé le texte sous le correcteur il devrait être moins rempli de petites coquilles que j'ai vu en effet à la relecture ^^
Et non je connaissais pas Horus, mais en discutant avec lui on a vu qu'on pouvait se faire un prélien sympathique (si on peut employer ce terme haha)

Edit de dernière minute : j'en vois encore quelques unes qui sont passés au travers des mailles du filet...je m'en vais les pourchasser à coup de blaster
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Alyvan Chaldren
Alyvan Chaldren
Rang IV - Sénateur
Messages : 1007
Date d'inscription : 17/03/2018
Lun 2 Avr - 23:12
Alyvan Chaldren
Ah parfait, des liens qui se créent déjà I love you (Et une petite détestation, ça met de bonne humeur What a Face

Félicitations, tu es validé ! Bienvenue, nouvel explorateur de notre galaxie !

Pour bien commencer ton voyage interstellaire, tu peux commencer par faire une demande de rp ou répondre à l’une de celles déjà postées ICI.

Tu peux également poster les débuts de tes Chroniques personnelles, qui peuvent te servir pour organiser tes liens et tes rps, voir te servir de plate-forme pour en obtenir.

Il t’est possible aussi de t’inscrire pour accomplir des missions ou pour exploiter une rumeur, afin d’avoir directement une incidence sur les événements du forum, ICI.

Enfin, n’hésite pas à envoyer des MP aux joueurs dont tu apprécies les personnages pour leur proposer une petite aventure … Qui sait ce qui peut en sortir !

Et surtout … Amuse-toi bien parmi nous Smile
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